Il ne faut pas mordre la main qui te nourrit.
Notre ‘’Déclaration de foi’’ écologique
Sur ce blog, nous défendons fermement la ‘’vraie écologie’’ et nous nous opposons ardemment à l’écologie des ‘’idiotes utiles’’ (pour savoir plus, lisez notre post ’’ La vraie écologie versus l’écologie des idiotes utiles’’).
La thèse du ce post
Aujourd’hui, l’agriculture française est un champ des mines. Les mines sont toutes les normes écologiques que les agriculteurs français doivent appliquer. Et les ‘’poseurs" de mines sont les ‘’écolos’’ françaises – une ultra minorité (4,63 candidats écologiste au dernier élection présidentielle) – mais qui a réussi à infiltrer profondément les 3 (trois) pouvoirs constitutionnels du l’État français – Parlement, Gouvernement, les Tribunaux. Ils sont soutenus bec et ongle par certains media publique et privées, toute en étant des déverseurs de la haine et des harceleurs de nos agriculteurs.
Pourquoi les écolos français font-ils ça?
La réponse qu’on pourrait la donner, beaucoup d’entre nous, en bonne conscience, est : pour sauver la planète et, particulièrement, pour protéger et préserver l’environnement en France. C’est un objectif tellement important qu’on doit de se battre pour lui. Une ‘’baston’’ comme au Sainte Soline, le 25 mars 2023, quand les gendarmes ont été attaques par des écolos avec une violence inouïe. Heureusement qu’ils ont été bien préparés et que leurs commandants ont fait preuves de capacités tactiques et opérationnelles dignes des commandants Ukrainiens chevronnés. Ce qui a fait d’avoir (seulement) 47 blésées, dont 2 en situation ‘’urgence absolue’’ dans les rangs des gendarmes. Sinon, très probablement, on aurait pu avoir quelques cercueils enveloppés avec le drapeau bleu, blanc, rouge et la mention ‘’ Mort pour la France’’.
Les écolos français sauvent la planète, mais seulement en France
Mais savez – vous contre contre quoi les écolos français ne se révoltent-ils jamais ? Contre les produits agricoles étrangers, bourrés des OGM (organisme génétiquement modifié), trempés jusqu’à la saturation dans des pesticides interdites en France (et dans l’U.E.), cultivés dans des conditions au plus total mépris des normes écologiques. Qui, de plus, sont transportés en bateaux et/poids lourds (pas électriques, bien sûr) sur des milliers et milliers de kilomètres. Des produits agricoles en provenance d’une agriculture étrangère ou les travailleurs agricoles sont souvent exploités, pareil aux des esclaves du 18éme et 19ème siècle, voire pire. Et maintient, la Grande Question : pourquoi les écolos français ne s’opposent-ils ? Réponses possibles: 1. Ils sont tellement occupés à sauver la planète/l’environnement /la biodiversité en France qu’ils n’ont pas le temps et l’énergie à consacrer à ce qu’il se passe ou vient d’ailleurs (d’autant en plus que, dans le plus part de cas, on parle des pays qui ne sont pas ‘’démocratique’’ et cela ne fait pas du bien à la santé de se prendre à eux !). 2. Les maitres – marionnettistes des écolos françaises ont comme ‘’Credo’’: Ne mordre pas la main qui te donne à manger’’. A vous de choisir la bonne réponse (ou de trouver une autre).
Normes écologiques hors UE
Il y a quelques pays (des États démocratiques, avec une longue tradition du respecte de la loi, pour la plupart) ou il y des normes pareilles et on les applique. Mais pour le reste des pays de notre Planète, les normes écologiques n’existent ou on ne les applique pas. Là-bas, généralement, c’est le Far West/Jurassique Park/ la loi de la jungle.
Normes régulant l’agriculture en UE
Dans le domaine de protection de l’environnement, U.E. a édicté 200 (deux cents) normes écologiques régulant l’agriculture (le nombre n’est pas précis, le chiffre exact peut être plus grand ou petite ; c’est un ordre de grandeur qu’on utiliser pour défendre la thèse de cet article). Et il y a des pays qui appliquent une grande partie de ces normes et d’autres qui en appliquent moins. Sauf la France qui appliquent strictement toutes ces normes européennes. Et encore plus : elle a légalisé 100 (cent) normes de plus à cause des demandes/pressions/‘’pistons’’ de ses écolos ; elles sont des normes ’’précurseurs’’ (c’est-à-dire, des normes qui vont être légalisé par l’U.E aussi – peut-être !) pour laquelle France est le banc d’essai.
Office Français de la Biodiversité
La France a créé l’Office Française pour la Biodiversité pour assurer l’application de ces 300 normes (principalement). Ses agents considèrent les agriculteurs comme des ‘’bandits’’ (slogan affiché/crié dans des multiples rassemblements des agriculteurs) et font ‘’un travail de répression, un peu abusive’’ – d’après Jean Baptiste Goutte, président de Jeunes Agriculteurs de l’Orne. Ils se déclarent comme ‘’police de l’environnement’’ sont habillés en uniforme et dotés avec armes à feu. Oui, vous avez bien lu : armes à feu. Imaginez – vous que même la Police Municipale du Paris n’est pas dotée des armes à feu – c’est normal, car, on sait très bien, intervenir sur un point de ‘’traffic’’ dans le XXème arrondissement disons, c’est moins risqué qu’aller sur de champs agricoles ou inspecter une ferme.
Les conséquences de ces normes sur les prix
D’entrée, on doit dire que, comparer avec les autres agriculteurs de l’Union Européen, ceux françaises sont déjà pénalisés par : 1. les taux et impôts à payer qui sont, très probablement, les plus élèves dans U.E.; 2. le prix de main d’œuvres, qui est plus cher qu’ailleurs. Donc, déjà, les produits agricoles françaises sont plus chers que ceux des autres pays de l’U.E. Si on ajoute l’impact de toutes les normes écologiques (les 200 européens + les 100 purement françaises) les écarts de prix s’allongent encore plus. En conséquence, un produit agricole UE et vendu en France coût, disons, entre 0,5 et 10 euros per kilos moins cher que le même produit français (d’après la distance d’où il vient et comment le pays de provenance appliques plus des normes européennes ou moins). S'il vient de l'étranger (hors U.E.), c’est 5-40 euros par kilo moins cher que le produit français (pour les raisons mentionnes ci-dessus). On vous rappelle que les nombres ci-dessus sont des ordres de grandeur, pas de chiffres exacts.
Les conséquences sur la productivité
Plus on a plus des normes à appliquer plus la production est plus faible. Et c’est un objectif publiquement assumé par les écolos français qui ne se gênent pas de parler et de promouvoir la ‘’décroissance’’ et s’attaquent à l’agriculture soi-disant ‘’industrielle’’. Et, pour boucler la boucle, savez-vous qu’une production plus faible oblige à vendre à un prix plus élevé et voilà comment on rentre dans une spirale meurtrière pour la production agricole française. Ce qui est l’objectif final des écolos françaises.
DES ABERRATIONS – EXEMPLES
1. Le poulet ukrainien (ou toute produit agricole importé d’Ukraine)
C’est vrai que les agriculteurs ukrainiens payent moins cher la main d’œuvre que leurs homologues dans U.E. et, probablement, que leurs taux et impôts sont moins élèves (comparé à la France, c’est sûr et certain). Mais c’est de ne pas devoir appliquer 200 (300 en France) normes écologiques ce que leurs donne l’énorme avantage en prix des ventes de produits agricoles. En 2022, pour aider Ukraine dans sa guerre contre l’occupant Rus, U.E. a décidé d’accepter importer des produits agricoles ukrainiens libre des taxes douanières. En conséquence, ils ont inondé le marché européen et commencé à suffoquer la production interne européenne. Les agriculteurs polonais ont été les premiers à protester, suivi par des ceux roumains, jusqu’à arriver maintenant aux agriculteurs français. Et quelle solution croyez – vous que nos dirigeants européens ont -ils trouvés ? Si vous dites : rétablir une forme d’équilibre par renoncer aux normes et laisser le consommateur disons français de décider s’il veut payer un peu plus cher pour un poulet français ou moins cher pour un poulet ukrainien – vous êtes en erreur. La solution trouvée est de réduire, voire carrément suspendre l’importation des produits agricoles ukrainiens. Côté humanitaire/solidarité – c’est une frappe sur la tête d’ukrainiens (bon, légère par comparaison avec ce qu’ils encaissent de la part de l’occupant Rus). Coté financière/économique, c’est stupide. Dans quelques mois, on donnera aux Ukrainiens l’argent qu’ils n’auront pas pu gagner à cause de ces restrictions. Mais on le donnera sans rien en contrepartie. BRAVO !
2. Turquie et France: cerise et miel
En France, on a interdit l’usage de certains pesticides sur les cerisiers par ce qu’ils étaient des ‘’tueurs des abeilles’’. Cependant, Turquie les a utilisés à grande échelle. Résultats des courses pour 2023: France – quelques milliers des tonnes des cerises et environ 39.000 tonnes miel. Turquie : environ 600.000 (six cent milles) tonnes cerises et environ 100.000 (cent milles) tonnes miel (source: Internet, Google et quelques clics). Si vous vous demandez ‘’comment s’est-elle possible une telle chose?’’, on vous donne trois réponses (à vous de choisir la bonne ou de proposer une autre): a. Il y a tant des abeilles en Turquie que la morte des unes – à cause de pesticides ‘’tueurs des abeilles’’ – n’a pas pu faire baisser la production de miel; b. Les abeilles turques sont tellement patriotes que, même mortes, elles continuent à produire du miel pour la Patrie; c. On se moque de nous avec cette histoire de pesticides ‘’tueurs des abeilles’’.
3. L’agneau de Nouvelle – Zélande
Partout dans le monde l'agneau de Nouvelle Zélande (NZ) est un produit pour les riches. Sauf en France. Ici, c'est pour les pauvres, car ceux qui ont plus d'argent mangent d'agneau français, qui est plus cher. Comment c'est possible que l'agneau qui a parcouru 18.000 kilomètres – venant d'autre bout de monde - soit moins cher que ce qui vient d’ici ? Parce qu'on doit appliquer 300 normes écologiques (voir ci-dessus) en France et 0 (zéro) en NZ. Cependant, l'environnement et la biodiversité se portent bel et bien en NZ, voire mieux qu'ici – et on le sait d’une source extrêmement fiable (lisez notre post "Pourquoi ce blog ?’’ pour savoir plus).
4. Interdiction de la pèche Golfe du Gascoigne
Plusieurs associations d’écolos ont obtenu du Conseil d’Etat – le plus haut Tribunal Administratif du France une interdiction de pêcher dans le Golf du Gascoigne pour un mois, de 21 janvier au 20 février 2024. Pourquoi ? Parce que les experts du CIEM (Conseil International pour l’Exploration de la Mer, dirigé officieusement par la Russie – une nation très ‘’amicale’’ de la France, comme vous savez très bien) ont dit qu’il y a un risque de tuer environ 9000 (neuf mille) dauphins. Et la plus haute juridiction administrative française a gobé ça. C’est un jugement tellement dommageable pour les intérêts nationaux, car elle s’applique seulement aux bateaux français; les bateaux étrangers s’en fichent royalement, faute de pouvoir les punir en cas d’infraction. Les plus affectés sont les petits pécheurs et aux ‘’artisans’’ de la pêche, des locaux – une cible de choix dans la campagne des écolos pour tuer l’agriculture française. En conséquence, quelques 460 bateaux de pêche français ont été mis à l’arrêt pour 30 jours – pas de revenu, pas d’argent pour les propriétaires et les marins, avec leurs familles et tous ceux qui dépendent d’eux – disons 8000 personnes (ordre de grandeur, pas un chiffre précis). Donc, on sacrifie la vie d’environ 8000 françaises pour sauver 9000 des dauphins (chiffre déterminée par des experts du CIEM, principalement de nationalité russe). Et comment les pécheurs et leurs familles vont faire pour ne pas crever de faim et pouvoir payer leurs factures, envoyer les enfants à l’école pendant ce mois – là ? Pas de soucis, le Ministre de la Transition écologique annonçait qu’il aurait des aides pour eux qui ‘’seront versées aussi rapidement que possible’’.
Les aides: solution ou casse-tête ?
Il est très répandu le système de donner des "aides" aux agriculteurs pour compenser les effets délétères pour leurs revenus de l'application de tant des normes. C’est presque une arnaque, car l’argent est versé après une (très) longue période du temps (constituer le dossier est un parcours de combattant chevronné et son traitement prend des mois et des mois, car l'Etat français utilise des humains et pas des IA). La solution idéale est de ne pas avoir toutes ces normes et, donc, des aides à donner. Faute de ça, on suggère que les agents OFB soient chargés avec la préparation et le suivi des dossiers. Et d'être payé par performance. Comme ça, ils peuvent se réconcilier avec les agriculteurs et faire quelques choses qui est réellement utile pour la société. C'est vrai qu'ils ne pourront plus se parader avec leurs belles uniformes et armes à feu et rouler dans les 4x4 rutilants. Oui, ils roulent dans des 4x4, bien sûr. Quoi, vous croyez qu'ils roulent en voiture électrique parce qu'ils sont la "police d'environnementale” ?
La grève des agriculteurs françaises
Parti en fin d’année 2023 en Occitanie, autour de Toulouse, la grève – révolte des agricultures françaises a fini par embraser toute le pays dernière semaine du janvier 2024 (opérations ‘’escargot’’, blocages des autoroutes, actions visant les ‘’grandes surfaces’’ etc.). Après ayant essayé à jouer la montrer avec les agriculteurs d’Occitanie, espérant un essoufflement de leur mouvement, face à l’embrassement générale, l’Etat à finir par céder et accéder aux principales demandes des agriculteurs. Pour faire court, ils ont obtenu : a. L’arrêt de la hausse de taux sur GNR (Gazole Non-Routier utilisé pour tracteurs et les autres outillages agricoles). Cette hausse qui visait à aligner son prix au prix du gazole (voire plus), c’était la ‘’balle d’argent’’ des écolos pour tuer l’agriculture française. Arrêter la hausse de ce taux a mis en PLS (position latérale de sécurité) bon nombre des écolos. b. Pause en application du plan ECOPHYTO (plan qui visait à réduire à moitié l’usage de pesticide jusqu’à 2030) Comme ce plan était le ‘’deuxième choix’’ des écolos pour tuer l’agriculture française, cette mesure a mis en P.L.S. d’autres écolos. c. Suspension des divers normes européennes et françaises. d. D’autres mesures visant à mieux protéger et promouvoir les produits ‘’nationaux’’. Bref, une belle victoire pour les agriculteurs françaises et, dans le même temps, une victoire pour la ‘’VRAI écologie’’. Bien joué, les gars.
Nos avertissement et conseils
Hélas, c’est seulement une victoire d’étape, car la guerre est loin d’être gagnée. Les écolos préparent leur contre-offensive et les premières salves de semonces sont en train d’être tirée sous la forme d’un déferlant des articles et reportages (Le Monde, Mediapart, Libération, TF1, Francetvinfo etc.). Aux agriculteurs, on le dit : rester sur votre garde, ne baisser pas l’attention. Aux gendarmes : une bataille modèle Sainte – Soline 25 mars 2023 peut survenir à toute moment – le projet d’autoroute A69 (en Occitanie !!) est de longtemps dans le viseur des écolos. Donc, pensez à vous parfaire encore vos capacités tactiques et opérationnelles - peut-être avec l’aide des commandants Ukrainiens les plus chevronnés. Car, la dernière chose que les Françaises, sauf écolos bien sûr, souhaitent voir, c’est un cercueil entouré de drapeau bleu, blanc rouge et avec la mention ‘’Mort pour la France’’.
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