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angelogeorge988

MACRON, DANS LA LUMIERE

Dernière mise à jour : 30 juin 2024

Macron travaille durement pour réussir là où même Napoléon Bonaparte a échoué: faire tomber la Russie/l’Empire Russe. Et le contexte actuel de la guerre en Ukraine joue en sa faveur.

Quel contexte?

Fin février 2024, l’heure est grave pour les Ukrainiens:  ils ont perdu la bataille pour Avidiivka et sont à court de munitions et d’hommes. L’aide américaine est à l’arrêt depuis plusieurs mois et celle de la part des Alliés européens est encore insuffisante. Les doutes semblaient s’installer vigoureusement – tant en Ukraine que dans l’Europe et les Etats - Unis. Les Russes poussent très fort dans l’espoir d’obtenir la chute du front Ukrainien ce qui leur permettraient une avancée sur des centaines des kilomètres carrés d’un coup. C’est à ce moment que Macron est sorti de l’ombre et assume officiellement et devant tout le monde le commandement de l’Alliance soutenant l’Ukraine dans sa guerre existentielle contre Vladimir Poutine et la Russie.    


Macron aux manettes? OUI

Le 26 février 2024, par le biais d’une déclaration tonitruante (qu’on a déjà citée dans «Macron, dans l’ombre»), Macron annonce la couleur: le Commandant-en-chef de l’Alliance pour l’Ukraine, c’est MOI. Et pour les Russes, le message est qu’on interviendrait pour vous arrêter si vous parveniez d’avancer en profondeur de l’Ukraine. Dans un premier temps, les réactions des Alliés face aux déclarations de Macron sont plutôt modérées disant simplement qu’ils n’envisagent pas d’envoyer des forces militaires en Ukraine. Cependant, non seulement Macron ne rétropédale pas, mais il va même remettre une pièce dans la machine en traitant de «lâches» ceux qui ne le rejoignent pas (conférence de presse, Prague, le 5 mars 2024). Les Russes s’agitent en coulisses pour obtenir des réactions plus fermes à l’encontre du Macron. Les Allemands et Biden s’exécutent car, dans les faits, ils travaillent en sous-couverture pour que l’Ukraine ne gagne pas la guerre contre la Russie. Le ministre de la Défense allemand déclare fermement qu’il n’y aura pas de troupes d’OTAN (la France inclus) sur le sol ukrainien. Biden aussi fustige la position guerrière du Macron et annonce clairement qu’il n’enverra pas de forces américaines en Ukraine (le 8 mars 2024, devant le Congrès et Senat réunis en séance solennelle pour écouter le rapport annuel «l’Etat de la Nation»). Vladimir Poutine est content: le «gamin/l’adolescent turbulent» Macron a été discipliné par ses «parents» Américaines et Allemands. Pour lui, donc, tout est rentré dans l’ordre et il peut continuer à rêver qu’un jour, il sera maitre de l’Ukraine. C’était mal connaitre Macron qui s’emploie à les leur faire comprendre combien ils sont dans l’erreur. Et ça très vite, par un vigoureux contre-attaque.


Macron contrattaque

Le 14 mars 2024, Macron vient devant la Nation dans une interview télévisée pour une œuvre digne du meilleur «artisan de la France», domaine «ambiguïté stratégique». Sans reproduire les éléments de l’interview, on vous dit seulement qu’il a transmis un message clair: nous n’allons pas vous laisser gagner la guerre contre l’Ukraine, même si on devrait agir directement contre toi, Vladimir Poutine, et contre tes soldats. Mais «comment?», «quand?», «où?», par «quels moyens?». Mystère, bien sûr (obligé, car le concept de «l’ambiguïté stratégique» veut que l’adversaire soit maintenu dans le plus strict aveuglement de tes plans et des moyens que tu emploieras le cas échéant). Et Macron ne s’arrête pas là; le jour d’après, en sortant d’une réunion avec les dirigeants Allemand et Polonais, il annonce franchement la couleur: «Peut-être qu’à un moment donné... il faudra avoir des opérations sur le terrain, quelles qu’elles soient, pour contrer les forces russes». Les mots sont directs et durs, mettant les autres Alliés au pied du mur: soit vous me suivez et on gagne ensemble la guerre soit vous restez en dehors et ratez la victoire, la gloire et ses dividendes. Une partie des Alliés, les Polonais, Les Pays Baltes, Finlande donnent une réponse positive à demi-mot. Les autres se taisent, même Biden et les Allemands qui s’opposaient très vocalement quelques jours auparavant. Cependant, c’est l’armée française qui va prendre la parole par la suite.


L’armée française rentre dans le jeu

Le Président a parlé (sous-entendant «a ordonné») et l’armée française exécute sa première mission: réputée comme «La Grande Muette», d’un coup elle se mue dans «La Grande Bavarde». Le 15 mars 2024, le Chef d'Etat-Major des armées (le «Grand Patron» de l’armée française) déclare «Le point de sortie de la guerre en Ukraine concerne plus que le sort de l'Ukraine. Cela concerne la sécurité du continent». Et il ajoute que l’armée est toujours capable d'agir de façon «autonome» si nécessaire. Le 19 mars, c’est le Chef d’Etat-Major de l’Armée de Terre (le «Patron de l’infanterie») qui signe une tribune dans le quotidien «Le Monde» énonçant que la France peut mobiliser 20.000 de soldats dans 30 jours et qu’elle a même les moyens de commander un corps d’armée de coalition de 60.000 soldats. Il ajoute que «L'armée française se prépare aux engagements les plus durs, le fait savoir et le démontre». Et pour finir en fanfare, il déclare aussi que la France dispose elle-même de ce qu’il faut pour «la dissuasion nucléaire» (en fait, pour dissuader les Russes à commencer à blablater encore une fois de le «nucléaire») Le 21 mars, encore une fois c’est le «Grand Patron» qui prend la parole disant que le président russe Vladimir Poutine "a construit sa manœuvre avec l'idée que les Occidentaux n'iront jamais en Ukraine mais se contenteront de fournir des armes. Il faut lui montrer qu'il ne pourra pas utiliser cette logique pour aller au bout, parce que cette idée n'est pas vraie". Le 5 avril 2024, le «Patron de l’infanterie» dans une interview à la Radio France Culture attaque, lui aussi, Vladimir Poutine et la Russie en parlant de l’usage de la force "aujourd'hui désinhibé" et "employé ouvertement" par eux. Et ce n’est pas tout.


Quoi d’autre?

Bon à savoir: l’armée française dispose de camps d’entrainement très bien lotis; en autre, il y a la reproduction d’une ville à l’échelle 1, pour se former et préparer au combat urbain. Cependant, dernièrement (fin mars 2024) ce n’est pas là-bas que l’armée française fait ses préparations, non. C’est dans des villes réelles, à découvert, aux yeux d’une population qui regardent les militaires effectuant leurs exercices de guerre comme on visionne un film en direct. Dans le même temps en média, plusieurs généraux et hauts gradés (à la retraite ou parti dans la vie civile) exécutent avec professionnalisme la mission d’encenser les prouesses montrées par l’armée française dans les nombreuses missions de combats exécutées les dernières années. Les critiques d’antan – aux oubliettes, place aujourd’hui aux odes pour son professionnalisme, ses compétences et capacités à accomplir les missions reçues. En plus : des scénarios de quoi les forces françaises pourraient faire une fois déplacées en Ukraine fussent partout dans les médias. Pour la plupart, ils sont carrément inoffensifs (formation des troupes Ukrainiennes, déminage, logistique). Toutefois, il y a un autre scénario aussi envisagé : les forces françaises pour garder la frontière avec la Biélorussie et libérer des dizaines de milliers de soldats ukrainiens immobilisés là-bas (et le matériel de guerre qui vient avec) pour le front. Et c’est là que le bâton blesse, car la Biélorussie, c’est le tendon d’Achille du Vladimir Poutine.


Pourquoi ?

Petit aparté: officiellement, la Biélorussie est un pays appart, un état indépendant; officieusement, c’est une prolongation de la Russie (rappelez – vous: c’est d’ici que l’attaque principale Russe est parti). Ce pays est sous la férule du dictateur Loukachenko, larbin du Vladimir Poutine. Lui, tout comme son maitre, a voulu se glorifier du soutien du people pour son régime. Donc, il a convoqué les élections présidentielles en 2020 pour les perdre à la faveur de la candidate de l’opposition, Svetlana Tikhanosvskaia. Hélas, le résultat a été détourné, Loukachenko se proclamait gagnant et elle a dû quitter le pays et constituer un gouvernement en exil. Et maintenant, imaginons-nous la suite du scénario avec les troupes françaises gardant la frontière avec la Biélorussie : une fois qu’ils se mettent en place, des manifestations pour la démocratie commencent un peu partout dans le pays (très probable avec l’aide de la part des services secrets ukrainiens et des certains Alliés: les Polonais, les Pays Baltes). Le régime va les réprimander brutalement (car, de toute façon, il ne sait pas réagir autrement). Un appel de la part du gouvernement en exil et une force française se mettra rapidement en marche vers Minsk, la capitale de Belarus, pour arrêter le massacre des civiles et déposer de pouvoir le dictateur en place. Les militaires bélarusses, sous-équipés et sous-entrainés, n’opposeront aucune réelle résistance (qui voudra combattre une armée expérimentée et réputée comme l’armée française pour le compte d’un dictateur qui, de toute façon, serait en train de passer?). Par la suite, Vladimir Poutine perdra la Biélorussie. Croyez – vous que c’est impossible? On vous rappelle le mot de Macron le 26 février 2024 «Mais en dynamique, rien ne doit être exclu». Et c’est exactement pour ce but que l’armée française s’entraine dans des combats en ville, visant à prendre d’assaut des bâtiments officiels (toute en sachant que les combats en Ukraine se portent principalement dans des tranchées évoquant la Grand Guerre 1914 -1918). Et encore, ce n’est pas ça le pire scénario pour Poutine, mais un autre.


Que sera–t–il, donc, le pire scénario pour Poutine?

Les forces françaises pour garder la frontière avec la Russie, ce qui pourrait entrainer deux évolutions potentielles meurtrières/destructives pour lui. Première, un missile ou une bombe planante – que les Russes emploie couramment aujourd’hui en Ukraine – et qui ont la fâcheuse tendance de tomber à des centaines de mètres, voire plus loin, de leur cible. Un ratage, des forces françaises attaquées (le plus probable par erreur) et la France va activer l’article 5 de Traité de l’OTAN demandant que l’Organisation rentre en guerre contre la Russie. Comme la France est un très gros «poids lourds», la réponse ne peut être que positif, c’est clair. Et les cibles les plus faciles seront, bien sûr, les forces Russes en Ukraine. Mais il y a l’autre évolution potentielle celle qui est encore plus dangereuse. La deuxième: une force d’intervention envoyée refaire la chevauchée (long raid dévastateur sur plusieurs centaines de kilomètres et sur un front de plusieurs kilomètres) du Wagner de juin 2023. Et c’était une force irrégulière, de mercenaires, qui a pu arriver proche de Moscou dans moins de 24 heures (en partant de l’Ukraine!), sans rencontrer aucune résistance. Imaginez–vous jusqu’à où pourrait avancée (et ce que pourrait faire) une force militaire française, surentrainée et dotée de matériels de guerre dernier cri. Imaginez–vous jusqu’à où pourrait avancée (et ce que pourrait faire) une force militaire française, surentrainée et dotée de matériels de guerre dernier cri. Et si, toutefois, il y a quelqu’un qui croyait que les Russes ont encore des forces pour protéger Moscou, détrompez – vous: il n’y a rien. Rappelez-vous que les quatre assaillants armés qui ont perpétrés l’attentat du 22 mars 2024 à Moscou sont venus, rentrés, ont tués et blessés tant des gens et, après, ont pu repartir tranquillement sans être embêtes par quelconque force armée. Bien sûr qu’il reste toujours la possibilité d’une riposte nucléaire, mais, encore une fois, détrompez–vous : seulement dans les films, on peut lancer une frappe nucléaire dans des secondes. Dans la vie réelle, les Américains et les Français ont besoin d’au moins 24 heures pour la préparer. Et les Russes? Etant donné ce qu’ils montrent en Ukraine, on peut se douter fortement même qu’ils seraient capables de la lancer un jour. Or, dans 24 heures suivantes, le Moscou et Kremlin tombent dans les mains des Français et le pouvoir de Poutine sera parti en fumé. Le meilleur, c’est qu’il n’est même pas nécessaire d’en arriver là; c’est suffisant de créer l’apparence, pour que les Russes soient forcés de prendre de mesures pour éviter un de ces deux scénarios-là.  


Et quelles mesures peuvent–ils prendre?

Plan A: un Vice-président du Parlement Russe (le seul capable de s’exprimer passablement dans la langue de Molière) a été dépêché dans l’urgence pour une interview en médias français le 21 mars 2024. Le sujet: menacer la France avec une frappe nucléaire. Le résultat: pschitt (comme c’était prévisible, car la France a son propre armement nucléaire et dans un état bien meilleur que celui des Russes). Plan A échoué, place au Plan B: former, équiper et tenir prête à l’emploi, dans les environs de Moscou, une force armé suffisante (des dizaines de milliers de soldats, des chars, des blindes etc.) pour le «cas où…». Et c’est cette force qui n’ira pas sur le front Ukrainien aujourd’hui quand les Russes ont encore le dessus et que les Ukrainiens manquent de tout (des hommes, des armes, des munitions etc.). Même si c’est aujourd’hui qu’ils devraient mettre le paquet pour percer le front, faire une grande avancée, casser la morale des Ukrainiens et faire fortement douter les Alliés de bien fondé de la continuation d’aide pour l’Ukraine. Car il sera trop tard demain: vers fin de l’été, les avions F16 vont arriver, les manques en hommes et munitions vont être palliées et les Ukrainiens parviendront à stabiliser la situation sur le front. Le moment favorable aux Russes sera passé et le front ne bougera plus jusqu’à fin janvier 2025. Cependant, Vladimir Poutine et les Russes ne le feront pas car, dans les faits, ils ne sont que de petits joueurs (forts avec les faibles comme Biden et Scholz, mais peureux face aux forts comme Trump et, aujourd’hui, Macron). C’est comme ça que Macron va obtenir sa victoire de cette année contre Vladimir Poutine. Et même beaucoup plus.


Plus quoi ?

Soyons clairs:  il y aura plusieurs effets/conséquences de la posture guerrière du Macron d’aujourd’hui et on vous parle brièvement ci-dessous (et beaucoup plus dans un futur article sur notre blog).

1. L’affaiblissement du parti Rassemblement Nationale de Marine Le Pen – parti eurosceptique (voix critique du transfert des attributions nationale vers l’UE), voulant plus de souveraineté nationale et, soi-disant, redorer le blason de la France dans le monde. On a fait l’opposition aux déclarations du Macron l’accusant qu’il veut envoyer les «enfants de la France» à la mort. Dans le temps, on perdra de plus en plus de la crédibilité, car on ne peut pas prôner une France «plus forte» et se positionner contre une posture la mettant sur les devants de la scène et lui assurant la prééminence sur tous les autres Allies de l’Ukraine (les Etats – Unis et l’Allemagne en tête).

2. Prendre la tête de l’UE – aujourd’hui, la France s’impose comme le protecteur de l’U.E. grâce à la force de son armée et au fait d’être la seule disposant des armes nucléaires. Elle apparaisse aussi comme étant son dirigeant de facto, car la mobilisation de plus en plus forte pour soutenir l’Ukraine se fait sous les houlettes de la France. «L’autonomie stratégique», que prônait Macron quelques années auparavant et qui semblait un fantasme à ce moment – là, devient aujourd’hui un impératif et elle va se construire sous le guidage de la France, bien sûr.

3. Puissance de premier rang – nous vivons aujourd’hui dans un monde devenu fou, ou des principes plus ou moins respectés pendant des décennies passent aujourd’hui à la trappe. C’est un monde ou les Etats–Unis de l’administration Biden ne règle plus rien (sujet de notre post «Points chauds du monde: les Etats – Unis», à apparaitre prochainement). Et c’est maintenant que la France, comme le porte-drapeau/la porta-voce de l’UE, va s’imposer comme une puissance de premier rang. Un premier signe dans cette direction: la visite de Macron au Brésil où il a décrété la mort du traité de libre-échange avec Mercosur (l’union de pays de l’Amérique de Sud) dans sa forme actuelle. Une autre version doit la remplacer, une qui devrait faire la partie (très) belle aux normes écologiques. Et Macron a parlé de toute ça, avec la morgue d’un seigneur s’adressant à ses sujets, devant le président du Brésil qui l’écoutait en position de (presque) «garde à vous».

4. Gros coup de pouce pour Trump. Trump répète incessamment que la guerre en Ukraine est la faute de Biden (car, lui Président, Poutine n’aurait pas eu le courage de la commencer). Aussi, il accuse Biden d’être «incapable» de faire arrêter la guerre et imposer la paix (ce qu’il le fera dans 24 heures une fois élu). Bref, il le désigne comme étant «impuissant» face au Poutine. Et c’est précisément cette image que Biden projette aux Américains aujourd’hui, par comparaison avec un Macron plus guerrier que jamais et prêt à tout pour arrêter l’avancement du Poutine en Ukraine (quitte à envoyer des militaires françaises combattre là-bas).


Les scénarios du futur

On vous conseille fortement de jeter aux oubliettes ce que «Les Crétins» et «Les Nuls» (lisez «Pourquoi ce blog?») vous disent de la guerre en Ukraine chaque jour dans les médias. Même si on n’est pas une I.A. «prédictive» (lisez «I.A., rêve, cauchemar ou pétard mouille» sur notre blog), on vous donne notre opinion comme quoi le front Ukrainien est et restera quasiment gelé jusqu’à fin janvier 2025 (quand le nouveau Président des Etats-Unis fera sa rentrée), en envisageant plusieurs scénarios.


1. Scénario le plus probable: 65-70%

Face à la possibilité de voir arriver des troupes françaises en Ukraine pour garder soit la frontière avec la Biélorussie soit celle avec la Russie, Vladimir Poutine ordonnera la création d’une force armée puissante se tenant prête pour intervenir défendre le régime du Loukachenko ou le sien. La suite est déjà connue.  


2. Scénario peu probable: 25-30% 

Vladimir Poutine va jeter toutes les forces Russes sur le front contre les Ukrainiens qui ne réussissent pas à le tenir et doivent reculer sur des dizaines des kilomètres carrés. Des forces françaises vont arriver pour garder la frontière avec la Biélorussie et, par la suite, le «scénario biélorusse» ci-dessus se mettra en marche. Vladimir Poutine va être forcé de rapatrier des forces importantes de l’Ukraine pour défendre son régime fortement affaibli par la chute de la Biélorussie. Par la suite, le front Ukrainien se stabilise (étant même possible que les Ukrainiens repartent à l’offensive une fois que les F16 seront arrivés).


3. Scénario improbable: 0-5%

Les forces françaises viennent garder la frontière avec la Russie. Quand le gros des forces Russes se retrouvent en Ukraine en train de s’approcher de villes importantes (Kharkiv, Odessa), l’ordre de partir vers Moscou sera donné. La suite, vous le connaissait déjà.

 

Teaser: le 5 novembre 2024, il y aura les élections présidentielles et les Américains devront choisir qui de Trump ou Biden sera le prochain Président. Fin novembre, on vous fera part de notre analyse au regard de l’évolution du Macron/la France à partir de fin janvier 2025 en fonction de qui sera le gagnant.

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