Macron travaille durement pour réussir ce que même Napoléon Bonaparte a échoué: faire tomber la Russie/l’Empire Russe, en aidant l’Ukraine à gagner cette guerre (devenue existentielle pour les deux pays).
Notre thèse: Le «credo» de Macron est qu’il a la mission de faire de la France une puissance du premier rang dans le monde. Et à partir de février 2022, atteindre cet objectif passe obligatoirement par la destruction de la Russie à la suite de la guerre en Ukraine. Donc, il revenait à Macron, le Président de la République Française, de conduire les efforts des Alliés soutenant l’Ukraine dans sa guerre contre la Russie de Vladimir Poutine. De plus qu’aujourd’hui, il est le seul dirigeant en place à avoir l’envergure demandée pour s’opposer à Vladimir Poutine. Et Macron ne faillit pas à la tâche (dans l’ombre hier, à découvert aujourd’hui). On va vous parler de tout ça ci-dessous.
L’échec du partenariat avec les Russes
Soyons clairs: Macron a souhaité d'abord un partenariat avec la Russie (et, en conséquence, avec Vladimir Poutine). Deux fois par le passé, en 2017 et 2019, Vladimir Poutine a été reçu en France avec des honneurs et traité en ami proche. Après la deuxième rencontre, comme gage de sa volonté pour ce partenariat, Macron est allé jusqu’à affirmer que «ce qu’on est en train de vivre c’est la mort cérébrale de l’OTAN». L’entrevue du 7 février 2022 à Kremlin (rappelez – vous, celle ou les deux sont assis avec une immense table blanche entre eux) a été une dernière tentative de la part de Macron de le raisonner (convaincre à renoncer d’envahir l’Ukraine et rentrer dans un partenariat avec la France et l’UE). Raté. Comme dirigeant, Vladimir Poutine est plutôt incapable, loin de l’image qu’on nous projette (qui n’est qu’une belle «façade» derrière quoi se cache le vide interstellaire) et il n’a rien compris de l’offre que Macron lui a faite en 2017 et renouvelée par la suite en 2019 et 2022. Pour lui, Macron, n'etait qu'un gamin qui voulait jouer dans le coeur "des grands", etant rentre tres tard dans la politique et sans avoir eu aucune expérience d’apparatchik (comme Biden ou Scholz, le chancelier Allemand) n’était qu’un gamin qui voulait jouer dans la cour «des grands». En conséquence, chaque fois, il l’a royalement snobé, lui et son offre de partenariat; pas un seul moment, il n’a compris que Macron est un requin, un prédateur d’une pire espèce, qui, bafoué, va les détruire, lui et son Empire, l’Empire Russe, si une ouverture s’ouvrait à lui. Et les premiers coups de butoirs militaires et économiques vont vite arriver, une fois que les troupes Russes rentrent dans l’Ukraine, le 24 février 2022.
Premiers coups
Bon à savoir: la France ne crie pas sur tous les toits sur ce qu’elle fait pour l’Ukraine ; et, même quand on nous parle, nous pourrions nous douter que tout soit dévoilé (par exemple, il a été annoncé la cessation vers l’Ukraine de 12 canons César, pour apprendre plus tard qu’on a livré pour de vrai, 18 !). Encore plus flagrant, le 26 février 2024, Macron déclare littéralement: «Il n’y a pas de consensus aujourd’hui pour envoyer de manière officielle assumée et endossée des troupes au sol. Mais en dynamique, rien ne doit être exclu. Nous ferons tout ce qu’il faut pour que la Russie ne puisse pas gagner cette guerre». Bien sur que le double (triple?) pléonasme est, bien sûr, employé sciemment par le Président (pourtant titulaire d’une licence en philosophie et marié à un professeur de français!). Pourquoi? Pour ne laisser aucun doute que des forces françaises se retrouvaient déjà là-bas. Du quand, où et qu’est-ce qu’ils font là-bas? Mystère et, très probablement, il le restera pour beaucoup des années. Ce qui ne nous empêche pas de spéculer là ci-dessous.
1. Des coups militaires. Dans les premiers jours de la guerre, quelques infos égarées dans les médias parlaient que plusieurs dizaines d’Ukrainiens ou français d’origine ukrainiens, membres de la Légion Etrangère (le célèbre corps d’élite de l’armée française, réputé comme étant un de meilleurs dans le monde), auraient été surpris en train de partir pour l’Ukraine; il n’y aura plus aucune info par la suite. Toutefois, le fait que des militaires chevronnés avec plusieurs années de «Légion» se découvraient «patriotes» et décidaient de tout quitter d’un jour à l’autre nous interrogeait. Et on croit détenir la réponse après avoir lu, quelques semaines plus tard, que plusieurs unités d’élite Russes ont été anéanti par des «forces spéciales ukrainiens» (par exemple, le 331e Régiment de «paras», que son commandant l’encensait comme «les meilleurs/la crème de la crème»; aux alentours du 12 mars 2022, la colonne principale est tombée en embuscade et a essuyée des nombreuses pertes, le commandant et ses officiers inclus).
2. Et économiques. L’U.E. était réputée comme un organisme qui mets des semaines et des semaines, voire des mois pour prendre les décisions importantes, celles avec un impact majeur. Cependant, entre le 23 et 28 février 2022, l’U.E. a pris trois trains de sanctions envers Vladimir Poutine et la Russie, certaines d’une dureté jamais vue par le passé (le gel des avoirs de la Banque Centrale russe d’un montant avoisinant 200 milliards euros, interdiction de diffuser dans l’espace européen pour media Russia Today et Sputnik, fermeture de l’espace aérien pour l’aviation Russe etc.). Officiellement, c’est le Haut Représentant de l’Union des affaires étrangères qui les a proposées ; officieusement, elles n’auraient même pas pu se retrouver sur la table sans être «parrainées» d’un très gros «poids lourd» qui seul Macron pouvait être (et il avait intérêt!). C’était son coup de semonce pour Vladimir Poutine qui ne l’a pas compris (ou n’a pas voulu le comprendre). Par la suite, Macron a décidé l’envoi vers l’Ukraine des canons César (sans rentrer dans des spécifications techniques ennuyants, on vous dit simplement qu’il est l’arme rêvée par tous les artilleurs, la crème de la crème).
Les Césars rentrent dans le jeu
…et les Russes trinquent. Gravement. Dans le mois d’avril 2022, l’armée Ukrainienne reçoit 18 (un quart de dotation de l’armée française!). Ils sont immédiatement employés contre les forces Russes au Nord du Donbass en train de descendre vers le Sud pour faire la jonction avec les forces qui venaient de là-bas (dans le but d’encercler l’armée Ukrainienne du Donbass et conquérir cette région). Résultat: les forces Russes sont anéantis, la jonction ne se fera jamais et la bataille du Donbass est perdue. Et l’épopée des Césars n’est qu’au début. Le prochain arrêt: l’Ile aux Serpent (proche de la ville stratégique d’Odessa, mais aussi du côté Roumain, son emprise permettait aux Russes de contrôler entièrement la mer Noire et de menacer la ville). En les utilisant intensivement pendant le mois de mai 2022, les Ukrainiens ont fait l’impossible pour les Russes de garder le contrôle sur l’ile d’où ils se retiraient le 31 mai (après avoir essuyé des grosses pertes en hommes et matériels de guerre). Anecdote: pendant que les Ukrainiens (très probablement sous les houlettes des artilleurs françaises) anéantissaient tous ce que les Russes massaient sur l’île pour la défendre, Macron a fait sa célèbre déclaration «On ne doit pas humilier les Russes/Vladimir Poutine». Les «Nuls» et les «Crétins» (lisez «Pourquoi ce blog») ne s’étaient jamais intéressé à la continuation, sous-entendue, de cette phrase, qui devrait être: «on veut seulement les détruire (et pour ça, on a donné des Césars aux Ukrainiens!)». Par la suite, la prochaine victoire n’est pas obtenue sur les champs de batailles, mais dans les bureaux feutres du Washington: pour ne pas «perdre la face» dans la guerre en Ukraine, une «coalition» des industriels et membres du Congrès a forcé l’administration Biden de donner des armes plus performantes aux Ukrainiens (notamment le lance-roquettes multiple HIMARS brillamment utilisé pour provoquer de très lourdes pertes aux Russes et gagner la bataille de Kherson l’automne 2022). Et pour en finir, notons le mot d’un défenseur ukrainien à Avdiivka (décembre 2023): «on ne peut pas perde la ville tant que les Césars la défendent» (la ville a fini toutefois par tomber après presque cinq mois de combat, mais les pertes Russes en hommes et matériels de guerre ont été colossales). Cependant, les Ukrainiens n’utiliseront pas les Césars pendant l’offensive de l’automne 2022 en zone de Kharkiv (l’Est de l’Ukraine); après avoir libérés plus de 20.000 kms carrés, ils ont dû s’arrêter faute de tanks (chars des bataille lourdes) performants et en nombres suffisants pour aller plus loin. La France ne dispose pas de beaucoup de ces engins et n’est producteur non plus, ce qui n’a pas empêché Macron de trouver comment les obtenir pour l’Ukraine, toutefois.
Et donc, qu’est-ce qu’il a fait Macron?
Rappelez- vous: tout au début de la guerre, les Alliés de l’Ukraine (sous la pression de l’administration Biden!) se sont imposés des restrictions/des interdits par rapport à l’aide militaire à apporter aux Ukrainiens. Les tanks occidentaux en faisaient partie. Cet interdit, Macron le fait annuler le 4 janvier 2023 (en passant soit dit, dans un moment charnière pour les Russes, en plein désarroi après une frappe Ukrainienne dans la nuit du Nouvel An causant la mort de plusieurs centaines de soldats d'un coup). Pour obtenir cet effet, Macron n’a pas eu que d’ouvrir la bouche et déclarer que «la France va envoyer des tanks légers AMX 10 RC aux Ukrainiens». A l’ère de la domination de réseaux sociaux (d’Internet en général), l’emballement médiatique et publique provoqué par l’utilisation du mot «tanks» a été assuré (peu importe que, dans les faits, l’engin ci-dessus n’a en commun avec les vrais tanks que le nom et une vague ressemblance extérieure). Par la suite, le Royaume – Uni a annoncé l’envoi de 14 Challenger 2, qui, eux, sont de vrais tanks, lourds, performants et efficaces. Et la pression est montée en flèches sur les Allemands (qui sont le principal producteur et vendeur de tanks en Europe avec leur Léopard) et sur les Américains (qui détiennent quelques milliers de tanks Abrams en stock). En dépit d’âpre résistance opposée, le couple Scholz – Biden vont finir par céder et donner des tanks aux Ukrainiens (pas en quantité suffisante et pas dans le temps, pour des raisons qui n’appartiennent qu’à Biden, Scholz n’étant que son larbin. La conduite du Biden par rapport à cette guerre va faire le sujet d’un futur article sur notre blog). Enhardi par le succès obtenu avec les tanks, Macron va récidiver le 28 janvier 2023 avec les avions.
Macron et les avions
L’épopée «avions de combats occidentaux pour l’Ukraine» débutait décembre 2022, quand le Président Zelenski, dans son discours devant le Parlement britannique, a demandé «des ailles pour l’Ukraine». Les efforts et les demandes incessantes des Ukrainiens semblaient être en vain, essuyant des refus de partout. Quand, brusquement, le 28 janvier 2023, Macron intervient prononçant sa phrase fétiche comme quoi «rien n’est exclu». Et c’est un autre interdit qui saute, en dépit d’opposition de la part de Biden exprimée fermement seulement quelques heures plus tard. Dans le temp, parrainée dans l’ombre par Macron, une coalition des pays européen – Danemark, Norvège, Pays -Bas et Belgique (oui, vous avez bien lu, on parle de la Belgique, ce n’est pas une blague) se met en place pour livrer des avions de combat américains F 16 aux ukrainiens. Hélas, les dates de leur livraison sont sans cesse repoussées à cause des manœuvres dilatoires employées par l’administration Biden invoquant des prétextes divers (quelques-uns simplement fallacieux). En attendant qu’ils soient, enfin, livrés (car ça arrivera un jour, plus tôt ou plus tard), la France a déjà commencé à donner aux Ukrainiens de quoi les armer (50 bombes planantes AASM par mois à partir de février 2024). Hélas, Macron va perdre la bataille suivante, celle pour la livraison des missiles longues – portées aux Ukrainiens.
L’échec d’obtenir les missiles longues – portées
Bon à savoir : Pour résister et vaincre la Russie, l’Ukraine avait besoin des missiles longues-portées (qui peuvent atteindre des cibles situées entre 80 et 300 kms au-delà des lignes du front, dans les parties occupées par les Russes, Crimée inclus). Afin de les fournir, des négociations portées dans l’ombre par la France et le Royaume – Unis aboutissent à un accord de lui livrer les missiles franco – britannique SCALP/Storm Shadow. Les premières, des Storm Shadow données par des Britanniques, arrivent en mai 2023. Malheureusement, ni les Allemands (l’autre producteur européen) et ni les Américains (pourtant détenteurs d’un stock énorme des missiles Atacms, encore plus performants et plus facile à utiliser que celles européennes) ne suivent le pas. Deux mois plus tard, Macron lui–même descend dans l’arène, faisant publiquement l’annonce tonitruante de la livraison des plusieurs dizaines des SCALP. On espérait enclencher la dynamique amenant à la livraison des missiles allemands et américaines aux Ukrainiens. Raté. Même si côté militaire, les résultats sont au rendez-vous (destruction des dépôts de munitions et combustibles en Crimée et ailleurs et des navires de guerre appartenant à la Flotte Russe de la mer Noire. Le 25 septembre 2023, même le QG de la Flotte est détruit, l’Amiral commandant et son Etat-Major étant tués). Et que les Ukrainiens prennent des engagements officiels et solennels qu’elles seraient employées seulement sur des cibles situées dans l’Ukraine occupée par les Russes. Rien n’arrive à infléchir le refus du couple Biden – Scholz de les fournir (refus maintenu même aujourd’hui, avril 2024). Donc, cette fois, à l’encontre de ce qui s’est passé auparavant avec les tanks et avions, Macron a échoué partialement. Cependant, il va prendre sa revanche en obtenant des belles avancées dans le processus d’accession de l’Ukraine dans l’U.E.
L’Ukraine dans l’UE grâce à la France? Oh que oui!
A partir de 2014, l’Ukraine a commencé un programme ample des transformations structurelles (politiques, économiques, institutionnelles) dans le but d’être admise dans l’U.E. Et c’est la peur bleue de Poutine qu’un jour l’Ukraine rejoindra l’U.E., ce qui l’a poussé à l’attaquer le 24 février 2022. Cependant, la guerre mené par les Russes n’a fait qu’enhardir les Ukrainiens dans leur volonté de rejoindre l’U.E. Et l’Union a répondu «présent»: après avoir lui accordé le statut de «candidat» le 24 juin 2022, l’invitation de commencer les négociations pour l’adhésion survenait le 8 décembre 2023 (c’est-à-dire, seulement 18 mois plus tard - du jamais vu, les pays rentrés auparavant passant au minimum cinq années dans cet «antichambre»). Bien qu’il reste encore la phase des négociations, pour nous, il n’y a pas de doute : une fois la guerre finie, l’Ukraine rejoindra l’U.E. sous peu de temps. Dans les faits, par le détour d’un discours prononcé le 8 avril 2022 sur le site du massacre du Boutcha (Ukraine, près Kyiv), la Présidente de la Commission Européenne a annoncé la couleur affirmant: «à la fin de cette guerre, on aidera l’Ukraine à se reconstruire pendant que la Russie va sombrer dans la décomposition». Bien que ce moment-là soit encore loin, autant dire aujourd’hui que l’U.E. n’a pas failli dans son soutien financier et militaire qu’elle apporte à l’Ukraine directement (on y mentionne le dernier, décidé le 2 février 2024, en somme de 50 milliards euros répartis sur 4 ans, mais il y en a beaucoup d’autres). Et que, même si son industrie de l’armement accuse un certain retard, les pièces se mettent en place pour pourvoir les besoins de l’Ukraine dans un futur pas très lointain. Ce qui est plus que nécessaire vue l’absence d’aide des américains aujourd’hui; et même si celui–là revenait un jour, il ne contiendrait pas ce dont l’Ukraine ait besoin pour gagner la guerre (lisez «Grand mensonge» et «Biden et Ukraine» sur notre blog pour toute comprendre). Mais comment U.E. est arrivée à des telles démarches, plutôt loin de sa sphère des activités/intérêts habituels? Car c’est évident que seule la détermination des Ukrainiens, les réformes qu’ils font en dépit de la guerre et les victoires qu’ils obtiennent (des victoires tactiques en 2022, des victoires stratégiques en 2023) n’auraient pu être tellement payantes sans l’appui d’un «parrain» très puissant. Qui ne peut être que Macron, car qui d’autre? Le chancelier allemand Scholz? Et même quand ce n’est pas l’U.E. qui s’implique directement, ce sont les pays membres de l’U.E. (ou associé, le cas de la Norvège) que le font, comme le montre l’initiative soi–disant «tchèque».
L’initiative «tchèque»
L’Ukraine a besoin d’énormes quantités des munitions pour tenir le front et ce sont ses Alliés qui doivent les lui fournir. Quand, au début de l’année, l’Ukraine annonçait qu’elle allait être à court de munitions, toute suite la République Tchèque a annoncé être capable de procurer une énorme quantité (800.000 obus d’artillerie) auprès de pays hors UE pourvu qu’il y ait du financement. Sans surprise, le montage financier commence à se mettre en place et, par la suite, on annonce la possibilité d’un autre achat de 500.000 pièces. Félicitations et beaucoup de joie: aujourd’hui (avril 2024) les premières livraisons sont déjà en route vers l’Ukraine pour arriver vers fin mai/début juin. Ces quantités lui permettront de tenir le temps que l’industrie européenne arrive à pourvoir par elle–même les besoins de l’Ukraine. Dans cette atmosphère de réjouissance, une question « sensible » est évacuée sans être même pas évoquée: comment un petit pays de l’Europe Centrale, qui est loin d’être une pointure dans le commerce internationale de l’armement, pourrait–elle sécuriser des telle quantités des munitions? Simple: on a agi sur le compte d’une puissance qui ne voulait pas être sur le devant de la scène. C’est-à-dire, la France, ce qui est parfaitement en phase avec le «modus operandi» qu’elle employait au début de la guerre en Ukraine. De plus, au fil de temps d’autres indices sont venus s’ajouter: des visites de Macron dans la République Tchèque (pour la féliciter directement pour leur bon travail) et au Brésil (un des principaux fournisseurs pour la munition ci-dessus et où Macron s’est vu décerner la plus haute distinction du pays – à la hauteur de cheque apporté, bien sûr). Et quand on entend, brièvement, qu’un autre fournisseur pourrait être l’Egypte (avec qui la France a une très belle histoire des affaires dans le domaine d’armement!), pour nous il n’y a plus de doute qui se cache derrière l’initiative «tchèque». Cependant, c’est pour la dernière que Macron a pu agir décisivement tout en restant dans l’ombre; les évolutions tant sur le front Ukrainien que dans les rangs des Alliés l’ont obligé à faire son coming-out et d’assumer officiellement et devant tout le monde le commandement de l’Alliance qui soutient l’Ukraine dans sa guerre contre l’envahisseur/l’occupant Russe. Et quand ça se passe, il se passe dans des grandeurs, pour bien marquer les esprits et alourdir la charge pour les Russes; donc, avec la finesse typique française mais aussi avec la force d’une charge d’une cavalerie lourde du Moyen Age. Mais, on vous parlera de tout ça dans notre post suivant: Macron, dans la lumière.
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