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angelogeorge988

TRUMP CONTRE HARRIS

Dernière mise à jour : 8 nov. 2024

Mise à jour: Trump a battu Harris à plate couture. Les Républicains ont pris le Sénat et ils sont en train de gagner la Chambre des Représentants aussi. Nous avons crédité Trump d'une première chance de succès, mais l'ampleur de sa victoire nous a échappé (notre erreur). Vous trouverez quelques prédictions sur son mandat à la fin de cet article.

Le 5 novembre 2024, il y a les élections présidentielles aux États-Unis. Chacun des camps et ses partisans annoncent des changements majeurs à l’échelle du pays et du monde. Pour le meilleur si leur camp l’emporte, pour le pire si c’est celui de leur adversaire. Des dizaines de milliers d'analystes et d'experts, bardés de titres et/ou de prix prestigieux, s'y mêlent et prennent position, pour la plupart contre le camp de Trump. Détrompez-vous: s’il y aura des changements majeurs réels et effectifs, ils ne se produiront pas avant des années. D'ici là, il y aura seulement des déclarations et/ou des prises de position déclenchant des débats publics modelés ‘tempête dans un verre d'eau’. Chaque fois, cela durera trois jours, le temps qu'une autre déclaration vienne prendre la place et déclencher un nouveau débat; et le sujet précédent sera oublié comme s'il n’avait jamais existé et qu'il n'aura pas été débattu avec intensité. Nos arguments ci-dessous.


La Campagne

Elle a été pleine de surprises, en commençant par une course entre Trump et Biden pour se terminer par Trump contre Kamala Harris (qui a dû remplacer à pied levé un Biden en déclin cognitif et physique avancé). La campagne de Trump a parfaitement respecté son style; il a fourni ce que ses partisans attendaient de lui. Il mérite donc d'être apprécié pour sa cohérence. En revanche, ce qui nous a surpris, c'est la faiblesse de la campagne de K. Harris. Elle n’a pas exploité à fond des thèmes qui auraient pu lui apporter des votes de la part des millions de gens qui ne sont encartés ni avec les Démocrates ni avec les Républicains. Il s'agit par exemple des dossiers pénaux de Trump, qui a déjà été déclaré ‘coupable’ dans l’un d’eux (peu importe que ce soit le dossier le moins important). Il en va de même pour le droit à l’avortement, remis en question au niveau fédéral par une Cour suprême dont trois juges ont été nommés par Trump. Ce thème a cartonné pour le Parti Démocrate lors des élections de 2022 visant à renouveler une partie des membres du Congrès (le Parlement américain). Bref, durant cette campagne, K. Harris nous est apparue comme ‘l'Impératrice sans couronne’ et Trump comme le ‘Phénix oiseau’. Et c’est important, car nous considérons que ces aspects viendront façonner un futur mandat de Harris ou de Trump.


Kamala Harris – L’Impératrice Sans... Couronne

Bien à savoir: un conte de fées raconte l’histoire d’un empereur à qui on a fait croire qu’il était vêtu des plus beaux vêtements du monde. Cependant, une fois sorti dans la rue, un enfant a crié: ‘L’Empereur est nu’. Kamala Harris a été choisie à la dernière minute pour remplacer Biden après son débat raté avec Trump. Le Parti Démocrate ainsi que tous ses partisans (journalistes, experts, vedettes) l’ont encensée comme un miracle vivant ; la même chose avec ses ennemies de Trump. Cependant, avec le temps et au vu de ses prestations (prises de position, déclarations, discours), l’enthousiasme initial commençait à se dissiper peu à peu. Le monde avait compris pourquoi elle, en tant que vice-présidente de Biden, avait été quasiment inexistante. Elle a connu un regain de popularité après sa prestation réussie au débat avec Trump le 10 septembre. Dans l’absence d’un autre débat et avec sa prestation habituelle, terne et sans saveur, son avance fond petit à petit; à quelques jours des élections, elle était carrément à égalité avec Trump. K. Harris peut encore gagner grâce aux votes anticipés exprimés, quand elle bénéficiait des retombées du débat et du ralliement de diverses vedettes. Nous la créditons de la deuxième chance de l'emporter face à Trump.


Trump – l’oiseau Phénix

À la suite de l’attaque du 6 janvier 2021, il a quitté la Maison Blanche par la porte de derrière. Il est ensuite parti dans une retraite dorée en Floride. Les stratèges du Parti Démocrate ont manœuvré pour le ramener au-devant de la scène en 2022, craignant l'ascension de Ron DeSantis, alors très charismatique (lisez ‘Biden or Trump’). Et Trump a fait du… Trump: une fois l'occasion de faire son jeu donnée, il semblait inarrêtable en renvoyant DeSantis aux oubliettes et en administrant un K.O. au Biden pendant le débat du 27 juin 2024. Quand K. Harris a été placée à la place du Biden, Trump et ses stratèges ont dû revoir leur copie. L'engouement provoqué par la machine de propagande démocrate la mettait bien devant lui dans les intentions de vote. Aidé aussi par la mauvaise performance de K. Harris, l'écart se resserre fortement au début du mois de septembre. Une présence moins réussie au débat du 10 septembre, suivie toute de suite par le ralliement de plusieurs vedettes en tête avec Taylor Swift, donne encore une fois un sérieux avantage à K. Harris. Mais Trump ne panique pas et ne commet pas d'erreurs; il continue obstinément de faire campagne à sa manière. Cela, ajouté à la prestation terne de sa contra-candidate, l'a placée au coude à coude avec celle-ci à quelques jours des élections. Et la dynamique est de son côté; quelques semaines supplémentaires de campagne et il aurait pu gagner avec une marge considérable. Mais les élections ont lieu le 5 novembre et sa victoire est loin d’être assurée. Nous la créditons toutefois avec la première chance de les remporter.


Les Résultats

Les premières estimations seront communiquées une fois le temps de vote écoulé. Les résultats officiels commenceront à arriver quelques heures plus tard. Ils concerneront au début les États où la victoire d’un ou l’autre des candidats sera obtenue à une différence au-delà de toute possibilité de contestation. Puis, les résultats en provenance d’autres États, où la victoire est gagnée à une petite différence, seront annoncés. Enfin, les résultats provenant des ‘États pivot’, ceux qui ne sont d’emblée acquis pour aucune des deux candidates. Il est peu probable, mais une surprise reste possible: un État donné, considéré comme acquis pour un camp, pourrait changer d'option sans crier gare. Même dans ce cas, le vainqueur sera décidé par les ‘États pivot’. Il faudra une semaine, voire plus probablement quelques semaines supplémentaires pour certains États, pour avoir les résultats finaux provisoires, c’est-à-dire les résultats de comptage des votes. En ce qui concerne les résultats ‘officiels’, ceux qui sont validés et qui désignent le vainqueur et le vaincu, il faudra attendre des semaines. Le temps d’en finir avec la plupart des contestations de résultats.


Les Contestations

Des plaintes seront déposées et de longs et acharnés combats juridiques auront lieu devant les tribunaux avant même la publication des résultats provisoires. Ce sera sûrement Trump qui va attaquer à tout azimut. Si K. Harris ne semblait pas gagner, le camp Démocrate pourrait se lancer lui-même dans un mouvement de contestation devant les tribunaux. Dans la rue aussi, car nous ne devons pas ignorer la force de frappe de l’extrême gauche américaine prouvée pendant les manifestations suivant la mort de George Floyd ou, plus récemment, avec les manifestations propalestiniennes. Il y aura peut-être des affrontements dans la rue, mais la police anti-émeute stabilisera rapidement la situation, avec l'aide de la Garde Nationale si nécessaire (ce qui reste toutefois peu probable). Nous vous annonçons d'emblée qu'il n'y a aucune possibilité que les combats juridiques et/ou les manifestations changent les résultats du vote tels qu'ils auront été annoncés.


Les Élections Pour le Congrès

Elles constituent l'autre événement majeur de ces jours-ci, mais on en parle très peu, même si elles sont importantes. Étant donné la situation politique à la fois à l’intérieur et à l’extérieur des États-Unis, le nouveau président aura une marge de manœuvre plutôt réduite sans le soutien d’un Congrès acquis à son programme. Et dans les élections législatives de cette année, c’est la majorité des deux chambres du Congrès qui est en jeu: le Sénat et la Chambre of Representants (l’équivalent de l’Assemblée Nationale en France). Il est plus probable que les Démocrates aient le contrôle d'au moins une des deux chambres, voire des deux. Que les Républicains gagnent une, voire les deux, il est moins probable. Nos arguments:

1. Historiquement, les Américains ont prouvé qu’ils aimaient l’alternance au pouvoir à ce niveau; comme la Chambre of Representants est aujourd’hui dans les mains des Républicains, elle probablement tombera dans le camp des Démocrates.

2. D’après les informations que nous avons pu trouver – peu en comparaison avec celles de la campagne présidentielle – il semble que les candidats Démocrates aux élections législatives font une campagne plus performante que celle de K. Harris.

Par conséquent, si celle-ci est élue présidente, elle aura plus de chances de pouvoir mettre en application son programme que Trump. Pour ce qui compte, étant donné ses faiblesses.


Kamala Harris Président - Ses Faiblesses

Elle n’a aucun poids au sein du camp Démocrate et aucune expérience en politique intérieure et extérieure. Elle a d'abord été procureure et a eu un seul mandat au Sénat des États-Unis, de 2017 à 2021. En tant que sénatrice, elle a siégé dans les commissions du Renseignement pendant la première année, puis dans la commission juridique. En tant que vice-présidente de Biden, elle avait pour seule mission la gestion du dossier de l’immigration à la frontière sud des États-Unis, sans réel pouvoir pour agir. En d'autres termes, elle a été placardisée dès le début du mandat de Biden et y est toujours restée, à l'exception de rares apparitions publiques de complaisance. K. Harris a été choisie pour remplacer Biden car personne d’autre n’aurait pu obtenir le soutien de toutes les composantes du camp démocrate. Un concours aurait par ailleurs anéanti toute chance de gagner l'élection présidentielle. De ce fait, elle ne sera qu’une façade, une porte-parole. Dans les faits, ses ministres et hauts fonctionnaires, désignés par les caciques du Parti démocrate, en tête avec Obama, mettront en œuvre la politique des États-Unis en son nom. Peut-être arrivera-t-elle à imposer sa volonté et ses idées dans la deuxième partie de son mandat, pourvu qu'elle réussisse à se constituer une base de pouvoir à l'intérieur de son administration et du parti. Nous ne comptons pas trop là-dessus.


Kamala Harris: Politique Intérieure

Elle ne fera qu'assurer la continuité de l'action de Biden, mais avec moins de succès. À la différence de ce dernier, K. Harris n’a ni le soutien des membres du parti (et au-delà de lui) ni l'expérience d'un vieux routier de la politique (et les capacités qui vont avec). Sur ce qu’elle a promis pendant la campagne électorale, nous croyons que seules les mesures visant le système de santé (élargissement et financement) seront accomplies. Si elle bénéficie d'une majorité confortable au Congrès, elle accomplira aussi les promesses de hausse des impôts et d'adoption de mesures de protection de l'environnement. Le degré de réalisation de ses promesses de grands investissements dans les infrastructures et la protection de l’environnement dépendra des revenus dégagés de l’économie américaine. Quant aux autres promesses – droit à l’avortement, contrôle des armes et de l’immigration –, ce qui s'est passé pendant le mandat de Biden continuera sous le mandat de K. Harris, mais avec moins de succès.


Kamala Harris: Politique Étrangère

Soyons clairs: Biden laisse derrière lui une Amérique qui n’est plus respectée ni pour ses valeurs ni par peur. Pendant son mandat, deux guerres ont éclaté: l’une en Ukraine (en 2022) et l’autre au Gaza (en 2023). À la fin de son mandat, les deux guerres s’étendent: l’Iran et la Corée du Nord ont rejoint la Russie pour sa guerre contre l’Ukraine. Quant à la guerre de Gaza, elle est devenue la guerre contre le Hamas au Gaza et contre le Hezbollah au Liban (lisez...Gaza...). Et son prochain élargissement à l'Iran et à ses alliés de Syrie et d'Irak est quasiment une certitude (lisez...Iran...). Dans ce contexte, K. Harris fera pire que Biden. Pourquoi? Premièrement, elle n’a aucune expérience en politique étrangère. Et si c'est Obama qui impose ses hommes pour mener la politique étrangère des États-Unis, des catastrophes semblables à celles du ‘printemps arabe’ ou de la prise de la Crimée et d'une partie du Donbass par la Russie sont à prévoir. Ces catastrophes, que nous croyons possibles pendant un mandat de K. Harris, sont: 1. invasion de Taïwan par la Chine; 2. guerre ouverte entre Israël et l'Iran et ses alliés en Syrie et en Irak; 3. des dizaines de milliers de soldats nord-coréens confrontant directement les forces ukrainiennes, qui verront leurs arriérés assurés par les forces européennes (France, U.K., Pologne, Roumanie, pays Baltes) et sud-coréennes.

Deuxièmement, K. Harris sera totalement démuni et incapable de faire face aux dirigeants (comme Poutine, Xi Jinping, Khaminy, Kim Jong-un) et aux leaders autoritaires (comme Erdogan et Netanyahu), tous vicieux et extrêmement misogynes. De même, elle ne pourra pas faire face aux dirigeants corrects, mais à caractères fortes et très expérimentés comme Macron, Meloni, Zelenski et Ursula Van der Leyden, la présidente de la Commission Européenne. Donc, nous ne pouvons qu’espérer que Harris s’aligne à la position de ces derniers. Hélas, la possibilité d’une sorte de paralysie des États-Unis est plus probable, ce qui se traduirait par des réactions retardées de type ‘Je ne te laisse pas tomber, mais je ne t’aide pas à te remettre sur pied.’. C'est le cas aujourd’hui avec l'Ukraine: l’aide pour ne pas être vaincue, mais pas autant que pour gagner la guerre.


Trump: Politique Intérieure

Soyons clairs: Trump a beaucoup d'ennemis, et il compte bien se venger une fois président. Ce sont ceux qui se sont employés à monter ses dossiers et ceux qui l’ont dénigré à maintes reprises. Il leur accordera une partie de son temps et de son attention. Nous apprécions toutefois qu’il travaillera avec acharnement pour réaliser ses promesses électorales. Le degré d'accomplissement dépendra de la capacité de son camp à contrôler ou non les deux chambres du Congrès. Les mesures économiques, en particulier celles visant à réduire les taxes, les projets d'investissements, les exploitations pétrolières et, généralement, la production d'énergie semblent être les projets les plus probables à être réalisés. Il lui sera plus facile de trouver un terrain d'entente avec les Démocrates du Congrès concernant ces projets. Démanteler toutes les normes environnementales adoptées par Biden nous semble moins possible avec un Congrès où les Démocrates contrôleraient au moins une Chambre. Il n’y aura pas de changements en ce qui concerne le droit à l’avortement et aux armes à feu. L’immigration sera l’une de ses principales préoccupations. Il arrivera à baisser significativement les flux d’entrée illégaux, mais il aura beaucoup plus de mal à juguler le phénomène et encore plus à faire retourner ceux qui réussiront à rentrer ou qui sont déjà présents sur le sol américain. Ses plans en ce sens seront contrecarrés par des juges et des élus locaux Démocrates, y compris les gouverneurs des États.


Trump: Politique Étrangère

La politique étrangère viendra en troisième position dans ses préoccupations, après la politique intérieure et la vengeance. Au début, il lui accordera une attention plutôt superficielle; plus tard, il se penchera davantage sur la question s'il estimera que les États-Unis n'obtiennent pas le respect qui leur est dû. Il aura essentiellement des relations correctes avec les dirigeants européens influents : Macron, Meloni et Ursula van der Lyden. En revanche, les relations seront houleuses avec l'Allemagne, vue comme un pays sous l'influence de Poutine pendant le mandat de Merkel et le larbin de Biden récemment. L'hypothèse de disputes commerciales avec l'UE n'est pas à exclure; toutefois, elles se dérouleront dans des termes ‘civilisés’. Cela ne se passera pas du même avec les dictateurs et les dirigeants autoritaires qui se ont pris beaucoup permis avec les Américains pendant le mandat de Biden. D’autant plus que celui-ci les a attaqués durement... à coup de paroles, fortes, mais vaines. Nous anticipons donc des pressions très fortes de la part de Trump, pouvant aller jusqu’à une guerre commerciale et des manifestations de force avec la Chine et la Corée du Nord. Feu vert également pour Israël et Netanyahu, voire pour pousser ce pays à détruire les alliés du régime théocratique d'Iran, et même ce dernier, pour en finir avec les menaces qui pèsent sur l'existence de l'État d'Israël.


Trump et l'Ukraine

Nous avons déjà exprimé notre opinion : en tant que président, Trump aidera l'Ukraine à gagner la guerre (lire 'Trump et l'Ukraine... ). Cependent l'opinion quasi unanime est que Trump abandonnera l'Ukraine à Poutine, son ami. C'était la théorie exposée partout dans la presse et sur les réseaux sociaux par à peu près tout le monde: les experts, les analystes, le public. Dernièrement cependant, certains d'entre eux ont commencé à changer leur fusil d'épaule et à défendre divers scénarios qui s'écartent plus ou moins de ce dogme officiel. En substance, ces scénarios affirment que Trump fera pression sur l'Ukraine pour qu'elle conclue un accord de paix avec la Russie; ce sera une sorte d'accord de type ‘Minsk’ qui ‘fige’ la situation telle qu'elle se présente aujourd'hui. Toutefois, si Trump souhaite que l'Ukraine conclue un accord de paix avec la Russie, nous affirmons qu'un tel accord ne sera en aucun cas favorable à la Russie. Trump ne peut accepter quoi que ce soit qui permette à la Russie de sortir victorieuse. Pour les raisons suivantes:

1. Afin de ne pas renforcer la Chine, contre laquelle Trump veut lancer une ‘guerre commerciale’.

2. Pour ne pas renforcer la Corée du Nord, qui ne pourrait plus être contrainte de céder, comme cela a été le cas en 2018;

3. Pour ne pas renforcer le régime théocratique de l'Iran, qui est aujourd'hui en guerre contre Israël par l'intermédiaire de ses alliés, le Hamas et le Hezbollah. D’autant plus que le scénario d'une guerre directe entre l'Iran et Israël est de plus en plus probable.

Dans le même temps, il est évident pour nous que l'Ukraine refusera tout accord de paix qui lui soit défavorable.Et la marge de manœuvre de Trump est limitée: pour faire pression, il ne peut que décider que les États-Unis ne lui livreront rien. Cela s'est déjà produit entre novembre 2023 et avril 2024, mais l'Ukraine a résisté. Seulement, en janvier 2025, les conditions seront encore plus favorables pour résister, car:

1. L'industrie européenne de l'armement se développe et sera en mesure de fournir d'avantage;

2. Il y aura au moins plusieurs milliers de soldats de la Corée du Nord sur le champ de bataille;

3. Cela incitera les pays d’Europe à envoyer des forces pour protéger les arrières du pays pendant que les Ukrainiens se battent sur les fronts et la Corée du Sud à venir la soutenir en lui fournissant un armement moderne en grande quantité (en fort contraste avec ce que font actuellement les États-Unis). Le résultat de ces élections va déterminer le monde dans lequel nous vivrons demain. Un monde avec ‘cirque et Coca-Cola’ ou un monde dur et imprévisible type ‘chacun pour soi’. Une mise à jour sera effectuée une fois le vainqueur annoncé et validé.


Prédictions supplémentaires

En plus de celles qui ont été mentionnées ci-dessus, nous prévoyons également pour le nouveau mandat de Trump :

1. La fin de tout soutien fédéral aux idéologies ‘progressistes’ et un procès de démantèlement de leurs avancées. Une attention particulière sera accordée à la ‘théorie du genre’ et aux avancées du mouvement anciennement LGBt et désormais devenu lgbTQIA+.

2. La fin de tout soutien fédéral pour l’écologie d’aujourd’hui (que nous avons nommée ‘l’écologie des idiots utiles’; lisez ‘La Vraie Écologie’)  telle que nous la connaissons et un procès de démantèlement de ses avancées. Cette écologie ne sauve pas notre planète. Dans les faits, elle produit les effets suivants: a. l'affaiblissement de l’Occident ; b. l'essor de l'esclavage et du travail forcé pour les ouvriers et fermiers dans plusieurs pays du Sud global, ainsi que l'exploitation des enfants; c. l'enrichissement sans limite des oligarques et caciques du parti au pouvoir dans ces pays du Sud global.

3. Un monde dans lequel les États-Unis et le reste de l’Occident deviendront plus forts et les dictateurs plus affaiblis (ceux qui resteront encore au pouvoir à la fin de son mandat – beaucoup moins qu’aujourd’hui !). N’oubliez pas: Biden a été le grand défenseur de la démocratie avec des… mots. Et les dictateurs ont fait tout ce qu'ils ont voulu faire. Dans son premier mandat, Trump a été leur ami dans les mots. Cependant, tous se sont tenus à carreau et n’ont rien fait. Lisez plus ici : ‘Biden contre Trump’.

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